Le moment de l’improvisation n’est-il pas celui où l’analyse doit lâcher prise ?
Ce colloque interroge les stratégies formelles de l’improvisation, les traces explicites ou implicites qu’elle convoque, la mémoire en action dans ses processus et la possibilité d’une modélisation de ses parcours, de ses gestes ou de ses motifs.
La veille du colloque, un concert inédit a réuni plusieurs musiciens férus d’improvisation libre qui ont rencontré à cette occasion un nouveau partenaire, OMax. À partir du jeu vivant, ce logiciel crée un clone et offre la possibilité de jouer avec les capacités d’apprentissage et d’imprévisibilité de la machine.
Organisation : SFAM, Ircam, Université de Strasbourg